Un essai randomisé incluant 4 000 femmes enceintes (24-32 semaines d’aménorrhée) a utilisé le test d’hyperglycémie provoquée par voie orale (75 g) pour définir la présence d’un diabète gestationnel : ce dernier était diagnostiqué chez 15% des femmes du groupe de seuil abaissé, contre 6% dans l’autre groupe. La proportion de femmes ayant reçu un traitement pharmacologique ― ainsi que l’utilisation globale des ressources sanitaires (ex. accouchement provoqué) ― était supérieure dans le premier groupe (seuil abaissé). L’incidence des macrosomies (critère principal) était cependant identique dans les deux groupes (9%).[5]
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Citer cet article: Quiz : grossesse et précautions thérapeutiques - Medscape - 23 mai 2023.
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