La cigarette électronique poursuit sa longue marche vers la reconnaissance. Les britanniques l’ont intégrée dans le sevrage tabagique. En France, on n’en est pas là, mais on est passé de méfiance à prudence.
La cigarette électronique poursuit sa longue marche vers la reconnaissance. Les britanniques l’ont intégré dans le sevrage tabagique. En France, on n’en est pas là, mais on est passé de méfiance à prudence.
La nicotine des e-cigarettes augmenterait le rythme cardiaque et l’oxydation des LDL. L’étude ne permet toutefois pas de conclure à un risque clinique, et encore moins de le comparer à celui du tabac.
Alors que le Royaume-Uni a pris officiellement position en faveur de la e-cigarette, l’OMS publie un rapport accumulant les motifs d’inquiétude. A leur tour, les britanniques répondent (en 104 langues…).
La révision de la revue Cochrane sur la cigarette électronique apporte de nouvelles données de sécurité mais il faudra attendre encore un peu pour l’efficacité…
Dans un nouvel avis actualisé, le Haut Comité de Santé Public reconnait l’intérêt de la cigarette électronique dans le sevrage tabagique mais appelle à interdire son usage dans les lieux publics. Une position plutôt ambigüe.
Deux normes AFNOR viennent d’être édictées pour sécuriser les e-cigarettes et leurs liquides. Une bonne nouvelle, si ce n’est que leur respect par les fabricants est… facultatif.
La cigarette électronique figure pour la première fois dans l’enquête INPES 2014 sur le tabagisme. Elle semble tenir son rôle de sortie du tabagisme et non d’entrée.